Évènement d'Halloween [ Ouvert à tous ]

 
 
 
 

Évènement

Chapter 1:

Les rumeurs

 
 
Le soleil venait de disparaitre à l’horizon, déjà la lune était bien haute et fière dans le ciel. En croissant presque terminal, sa lueur était plus lugubre en cette saison colorée qui venait de commencer.  Cette  dernière donnait une lueur blanchâtre à la nuit qui doucement s’éveillait de son sommeil. La cours de l’académie était complètement sous l’emprise des rayons lunaires, seuls quelques petits coins semblaient vouloir rester dans l’ombre. Les nombreux arbres avaient pour la plupart, perdu leur jolie mentaux d’été. Les feuilles avaient terminé leur cours au sol durant la journée venteuse furent à la tombée du jour raclés par le concierge de l’école, en un immense monticule. Qui malheureusement était la proie du vent qui s’amusait à l’éparpiller dans toute la cours.
 
 
Cette nuit-là, le vent était froid et mélodieux, soufflant sans arrêt, il se moquait des branches dénudées qui par peur tremblait sous son passage.  Des tornades de sables dansaient en cercle parcourant l’espace glacial. Ces tornades parcouraient le chemin de pierre, grand tapis rouge déroulé aux élèves pour les guider dans la cours vaste. Oui, les pierres étaient rouges, et le chemin semblait parcourir la cours qui semblait sens fin.  De la porte de l’établissement à la sortie…. Ce chemin était surveillé par des statues de pierre qui de chaque coter, telle des soldats, regardaient d’un regard presque vivant, les gens défilés.
 
 
Depuis quelques jours, une rumeur circule dans l’académie, créant ainsi des histoires, des peurs et des questionnements de la part des élèves…. Il fut dit, qu’une fois la nuit tombée, des hurlements, des chants et des voix se firent entendre dans les ténèbres de la nuit.  On raconte même, que dans la lueur de la lune, une jeune fille habillé de blanc, fut aperçu le regard perdu dans le ciel, le corps comme la lumière, elle semblait chanter…
 
Plusieurs étudiants, on chercher à voir la vérité dans tous ces paroles… Mais le conseille étudiant cherche à étouffer l’affaire… Interdisant l’accès à la cours une fois la nuit tombée…
 
 

 
Il ne fallut pas beaucoup de temps à la jeune présidente de retrousser ses manches. Assise, comme toujours, dans son bureau, elle avait réclamé une réunion d’urgence du conseil étudiant. Le regard plongé sur le rapport de situation, un soupire s’était échappé d’entre ses lèvres. Son regard s’abattit alors sur les 3 membres du conseil, Alesia, Jeff et Nathan. Seules ces trois personnes avaient prouvés leur valeur aux yeux de la cruelle présidente. D’un ton de voix plutôt autoritaire, elle déclara;

- Il ne faut pas augmenter nos effectifs, car cela alertera les étudiants sur les dites rumeurs. Mais rester vigilant et aucun repos… Il est important de rester calme et de montrer l’exemple. Si vous mettez la main sur la personne qui cause temps de problème vous venez me chercher aussitôt… Ne prenez aucun risque inutile…
 
Les membres du conseil s’accordèrent un bref regard, puis ils quittèrent le bureau dans le même silence qu’ils faisaient constamment preuve.  Mais, leurs soupirent, furent aux oreilles de la présidente tel une mélodie lugubre et un sourire n’acquis sur ses lèvres.
 
Elle aussi, allait devoir dire au revoir à ces belles soirées à étudier les dossiers… Au revoir les congés.  Son regard se tourna en direction de son unique et immense fenêtre. Un arbre magnifique bougeait aux ordres du vent. Dans l’école, elle était le vent et les élèves était les feuilles, elle devait les guider afin qu’ils quittent un jour l’arbre… Son regard d’émeraude se dirigea aussitôt vers le crépuscule qui doucement envahissait le ciel, l’enflamment d’une douce poésie. Sur ses lèvres elle se mit à chuchoter.
 
‘’  Tel un souffle qui enflamme le temps, par sa présence dans nos cœurs. Ils ont marqués ma vie, ils ont marqués mes nuits. Mais aujourd’hui tous est fini… ‘’
 
Puis, son regard légèrement triste, se figea sur l’horloge aux aiguilles fuyantes. Comme le temps passait si vite… Déjà le passé détruit, oublier… Mais bien présent dans son sang.  Elle devait déjà prendre son rôle de gardienne et délaisser la paperasse de la journée, déjà rempli de la poussière du temps… Le temps…
 
Elle mit autour de sa gracieuse taille une ceinture sombre comme la nuit, accrocha ses deux dagues dans son dos, et sur le coter gauche, un étrange cylindre argenté avec de drôle de symboles. Elle plaça un peu mieux son buste qui dévoilait ses courbes généreuses. Laçant ses longues bottes noires ou une lame était dissimulé dans le talon. Puis elle se regarda dans le miroir.
 
‘’ Un peu d’action je vous prie… J’aimerais pouvoir… Voir autre chose que ses élèves.. Connaitre autre chose que le calme… ‘’
 
Puis elle ouvrit la porte de son bureau, la refermant, la clé dans son cou, elle marcha dans le couloir une chanson sur les lèvres…
 
‘’ Mettez-moi sur un collier de roses
Je vais continuer une chaîne en argent
après une autre filière aujourd'hui.
Je te méprise.
Mon serviteur rebelle,
s'agenouiller et baiser ...
Des larmes amères de l'amour.

Étendre les jours et les mois de ma solitude,
Mais mon cœur bat encore.
Jouer sur les ailes en lambeaux ...
Comme s'ils étaient encore en vie.
La solitude terribles ténèbres ...
Sceller nos obligations avant la crucifixion ...
Avec juste un souhait.

Enlever les menottes de roses,
Et les habiller sur nos poignets.
C'est un miracle se toucher ...
Je t'aime.
Mets-toi à genoux et vous apporter ...
Autrement dit sacrifice blessant d'amour ...
Perdu dans la brume d'un nouveau conte.

Je ne crains pas d'être aimé.
Dis-moi que tu m'aimes.
Prête-moi tes lèvres enchaînés.’’
 
Elle pénétra, d’un pats lent, dans la cours de l’école, le soleil avait complètement laissé place à la nuit et le vent froid lui caressait le visage. Elle déambula dans la cours, entre les statues et les bancs, respirant la froide aire qui lui donnait le sourire… Aucun nuage ne cachait le ciel replis de petites étoiles qui commençaient à pointer leur nez…

Un regard
Sombre

 
 



Le temps semblait plutôt maussade dans l’académie. En ce troisième jour d’école, la jeune fille parcourait encore les corridors à la recherche de sa chambre qu’elle avait encore perdue. Afin de se réconforter et de se prouver qu’elle n’était pas idiote, elle se répétait sans arrêt C’est ma chambre qui bouge de place. Puis avec un soupire, elle s’immobilisa devant une grande fenêtre qui laissait comme image sur la cours d’école. Elle déposa sa main sur la surface froide de la vitre, regardant le vent qui soufflait dans les hauts arbres presque sans feuille… Elle leva ses yeux en direction du ciel qui semblait doucement mourir. Laissant l’ombre piler sur la lumière.

Elle resta un bon moment, contre la vitre, le regard plongé dans le néant de la cours. À l’intérieur d’elle,  comme à son habitude, une jeune fille pleurait silencieusement. Assise dans le noir… Elle pleurait, ses longs cheveux lui cachant son visage défiguré par la tristesse et par l’obscurité qui commençait doucement à la rongeait de l’intérieur.  Un large sourire s’affichait sur les lèvres de Mirajane, son reflet diabolique était projeter contre le vers et elle se mit à rire. Son rire se résonna dans l’écho du couloir vide à cette heure tardif…  Elle vue dans la cours, une ombre passer… Comme si une personne avait eu le courage de sortir, même s’il y avait l’interdiction de sortir. Elle continua de sourire avant de se diriger discrètement et silencieusement en direction de la porte de sortie.

Elle ouvrit la dite porte de bois, qui grinça sous le mouvement de sa main, l’air froid du soir lui caressa le visage et elle savoura se moment idéal pour elle. La porte se referma bruyamment, claqua sous le vent et elle entreprit une petite marche dans la cours.  L’herbe semblait humide par la petite rosée qui venait de  tomber.  L’air fraiche était également du rendez-vous, son souffle pour le moindre fluide était identifier par une faible brume sortant de sa bouche et de son nez. Son regard, pour le moindre sombre, se tourna en direction du ciel, ou les étoiles étaient bien présente. Elle poussa un nouveau soupire… Profitant des rayons lunaires qui semblaient lui caresser sa pâle peau.  Elle écoutait les sons de la nuit, les croassements des crapauds, les battements des ailes des corbeaux nichés dans un arbre sans feuille. Son regard croisa les yeux globuleux du corbeau qui semblait étrangement la fixer… La jeune fille se mit alors à rire devant la tête que ce dernier faisait !

-Et si tu penses que tu me fais peur... Tu peux toujours courir 

Elle fit un signe à l’oiseau mais ce dernier tourna la tête et ignora la jeune fille qui continua sa route en direction… de nulle part… Elle ne connaissait pas vraiment la grande cours et le beau message de la présidente, si… Prétentieuse, lui avait donné l’eau à la bouche. Elle voulait voir de ses yeux ces monstres qui alimentaient autant de rumeur et de peur dans le cœur des élèves… Qui à ses yeux étaient les plus peureux ! Personne ne semblait chercher à sortir dehors pour affronter ses bêtes nocturnes ! Et bien ! Pas elle, retroussant ses manches, elle marcha entre les arbres… Une voix, une chanson, avec des paroles qui semblaient ne pas s’agencer.  Comme si un code, ou un secret y était caché. La jeune fille s’immobilisa derrière un arbre.

Son regard se porta sur… La présidente ! Et oui cette dernière semblait prête à combattre, de la voir aussi armé, lui donna l’impression que les rumeurs l’inquiétaient. Un sourire aux lèvres, elle resta contre l’arbre à la regarder, elle qui n’aimait pas vraiment cette femme, aux aires snobes… Qui semblait avoir une emprise de peur sur le campus et même sur certains professeurs. Cela ne marcherait pas avec elle.  Elle regarda cette dernière écoutant les paroles de cette chanson, certes elle avait une belle voix, mais cela alimentait simplement le feu de jalousie qui lui argniait le cœur.  Elle la détestait ! Peut-être, ce soir, elle mourra sous les dents d’un monstre ! Qui sait.. un Loup ou un Lycan… Elle ne fera rien, elle ne bougera pas, elle restera contre l’arbre à regarder, à admirer et si on lui reproche sons inaction, elle dira qu’elle avait figé, qu’elle avait eu peur, que tous son corps lui avait paralysé les pensées…

Étrangement, en cette nuit d’automne, un brouillard dissimulait le sol parsemé de feuille décoloré avec le temps. La jeune présidente n’avait point bougé, le regard toujours perdu dans le ciel sur ses douces lèvres, elle avait soufflé les dernières paroles de la chanson et dans l’écho, elle crue entendre un rire… Un chant, une voix cristalline. Qui semblait lui répondre, ou qui semblait l’appeler.  La voix était faible, comme un murmure dans le vent froid qui venait bercer ses longs cheveux..
 
Je me souviens des larmes coulant sur ton visage,
Quand je te disais que je ne t'abandonnerai jamais.
Quand toutes ces ombres ont presque tué ta lumière,
Je me souviens que tu me disais "ne me laisse pas seule ici",
Mais tout ça est mort et enterré, c'est du passé ce soir.

Ferme juste tes yeux,
Le soleil se couche.
Tu iras bien,
Personne ne peut te blesser maintenant.
Viens lumière du matin,
Toi et moi nous serons saines et sauves.

Ne t'avise pas de regarder par la fenêtre,
Chérie tout est en train de brûler.
La guerre derrière notre porte fait rage,
Accroches-toi à cette berceuse.
Même quand la musique est partie, partie...

Ferme juste tes yeux,
Le soleil se couche.
Tu iras bien,
Personne ne peut te blesser maintenant.
Viens lumière du matin,
Toi et moi nous serons saines et sauves...

Ferme juste tes yeux,
Tu iras bien.
Viens lumière du matin,
Toi et moi serons saines et sauves...
 
Elle sentie, sous les paroles, son cœur battre un peu plus fort, comme si ce dernier était toucher par la tristesse dans la voix… Les rumeurs disaient-elles vrai ? Avait-il vraiment un fantôme dans la cours de l’école ? Elle devait absolument en avoir le cœur net. De plus, elle devait supprimer cette menace avant qu’un élève ne cherche à jouer les héros…
Elle prit donc entre ses mains, le cylindre argenté. Le métal était froid, et semblait la tirer de la phase dans la quel, elle avait été plongé par la douce parole de l’inconnue. Prenant donc la direction d’où prévenait la voix, elle marchait calmement.  Le froid ne trahissait pas sa respiration calme.  Son cœur battait désormais un peu plus rapidement, elle allait enfin avoir un peu d’action. Enfin, elle souhaitait avoir un peu d’action !
 
Après un moment, les paroles terminés, la voix se mit a pleurer… Les pleures résonnèrent en elle comme un large frisson… Les paroles l’avaient un peu envouté, tellement, qu’elle n’avait même pas remarqué la présence de gens qui la suivait… Elle se sentait troublé et voulait détruite ce qui la rendait si triste… Un seul mot vient alors à ses lèvres…  Banshee
 
Avait-elle raison… De penser qu’une femme torturée était ici ? Entre ses murs ? Elle ne pourra peut-être point lui faire face…. Que devait-elle faire…

L'odeur

 




Le dos contre l’arbre, Mira regardait la présidence. Son regard semblait perdu dans l’obscurité engendré par la silhouette de la femme sur le sol. Elle avait les bras croisé sous sa poitrine et attendait… Ce qu’elle attendait, personne ne le savait… Encore moins elle.  Son regard violacé était absent, comme si elle n’était plus là.

Le regard plongé dans les yeux mauves de la jeune fille, elle pencha la tête sur le coter opposé de la prisonnière, qui avait les larmes aux yeux. Étrangement, le regard de Mira n’était pas composé de haine envers la prisonnière. Mais plutôt de questionnement. La jeune fille enchainée soupira… Devant le sourire froid et sombre sur les lèvres de l’être qui se tenait devant elle.  Les chaines, serrèrent aussitôt ses poignets l’obligeant à tomber sur le sol et Mira se mit à rire ;

Tu ne penses pas que mon plan est le meilleur ? Quoi tu voudrais que je la laisse tranquille peut-être ? Garde tes ennemis plus proches que tes amis… Tu aurais dû écouter ses sages paroles…

Mira tourna le dos à la jeune fille qui c’était remise à pleurer la suppliant de laisser la fille tranquille… Mais Mira avait déjà quitté la pièce. Le regard complètement perdu sur la présidente, un sourire sombre vu le jour sur ses lèvres et elle croisa les bras, fière d’elle.  Un frisson lui parcourra le corps, lui traversant la colonne pour terminer dans ses doigts. Elle n’avait point sentit l’homme s’approché.  Elle n’avait pas pensé, qu’en quelques minutes, une personne l’aurait trouvé aussi rapidement… Elle était bête ! Elle n’avait point pensé sentir l’air qui l’entourait, afin de se familiariser avec les odeurs des lieux.  Son regard, devenu inquiet, se posa sur l’homme qui était proche d’elle. Ce dernier avait également le regard plongé sur la présidente. Elle pencha la tête sur le côté, comme un enfant l’aurait faite… - Elle chercha à sembler innocente-  Elle le regarda de la tête aux pieds, une petite analyse du sujet, puis elle eue de nouveau un sourire.

Inquiétant ? je ne trouve pas. De plus, elle et le conseil étudiant sort tous les soirs afin d’assurer la protection contre les gens qui ne font pas partie de l’école… Cela m’étonne que vous ignoriez ceci…


Elle eue un petit rire, étant nouvelle, elle avait appris ces informations en regardant le babillard d’information dans le hall d’entrée.  Ses longs cheveux se firent alors prendre dans un tourbillon de vent, lui cachant la moitié du visage. Elle put entendre à l’intérieur d’elle les pleures de la jeune fille et elle eue de nouveau un petit rire.. Mais son regard se posa aussitôt sur la présidente… Et elle tendu l’oreille, une personne semblait chanter. Cela l’agaçait au plus haut point… Quel monstre de nos jours chantait avant de tuer ces proies ?  Toutefois, la présidente quitta sa vision en direction de l’étrange chan… Elle pouvait tout de même la suivre par l’odorat. Elle posa de nouveau son regard sur l’homme.. Qu’allait-il faire ?